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Wie entsteht historische Information? Wie verschiebt sich der Blick auf die Technologien der Tradition, wenn er von der Geschichts- in die Medienwissenschaft wandelt? Es lohnt, sich für einen Moment von der Befangenheit im historischen Diskurs suspendieren und damit in Bereitschaft versetzen zu lassen, Signale aus der Vergangenheit mit anderen Sinnen zu empfangen. Wolfgang Ernst befasst sich mit den materiellen, technischen und symbolischen Operatoren der historischen Zeit und interpretiert deren Zeitweisen zugleich als Herausforderung des Begriffs der Geschichte selbst. Emphatische Zeitfiguren lösen sich bei genauem Hinsehen in diskrete Operationen auf; an die Stelle großer Geschichtsbilder tritt konkreter Symbol- und Signalvollzug, der an paradigmatischen, gelegentlich auch anekdotischen Szenarien anschaulich gemacht wird.
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Historiography. --- Historiography. --- Social sciences --- Historiography.
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Met dit boek krijgt de lezer een overzicht van vijfentwintig eeuwen geschiedschrijving van West-Europa. In het eerste deel, over de Oudheid, behandelt de auteur de historiografie in het klassieke Hellas, het Romeinse Rijk, het oude Israël en het vroege christendom. In een tweede deel overloopt hij de geschiedschrijving van duizend jaar West-Europese christelijke Middeleeuwen. In het derde deel wordt de uiteenzetting voortgezet van de Renaissance tot de eeuw van de Verlichting; bijzondere aandacht gaat uit naar de weerslag van de wetenschapsrevolutie op de geschiedbeoefening. Ten slotte worden, in een vierde deel, belangrijke ontwikkelingen en vernieuwingen binnen de historiografie van de negentiende en twintigste eeuw onder ogen genomen. Al komen de laatste voorbije eeuwen, relatief gezien, ruimer aan bod, toch plaatst de auteur zich helemaal niet op een 'hodiecentrisch' standpunt.
Europe --- Historiography
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Between the sixteenth and nineteenth centuries, the elites (secular and ecclesiastical) of the many villages, castles, smaller urban centres that make the Italian landscape so unique, started to deeply rethink the past of their "small homeland". Roman (but also pre-Roman) heritage and medieval tradition are at the centre of interest; bold "inventions" and manipulations alternate with searches for a solid erudite structure. The essays published here concern the Italian regions of Piedmont, Romagna, Emilia, Tuscany, Marche, Umbria, Terra di Bari, Campania. In the essays, a strong sense of identity and a robust self-awareness emerges; ultimately, this is the vitality of a connective tissue of settlements featuring an "original character" relevant in the Italian historical events from the Middle Ages to the present day.
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Historiography --- Italy
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Der Historiker Jörn Rüsen steht in der Tradition Johann Gustav Droysens. Er fügt phänomenologische, wissenschaftstheoretische, erkenntnistheoretische, methodologische, geschichtsphilosophische, erzähl- und kulturtheoretische Überlegungen in einen einheitlichen Argumentationszusammenhang, der den Grundlagen, dem Status und der Funktion des historischen Denkens gewidmet ist. Die anthropologisch-universellen Grundlagen dieses Denkens werden ebenso dargelegt, wie der innere Aufbau der Geschichtswissenschaft als kognitives Gebilde und dessen kulturelle Funktion in der menschlichen Lebenspraxis erörtert werden. Zentraler Gesichtspunkt der Theorie ist der "Sinn" dessen, was als Geschichte erkannt wird, und damit verbunden der Sinn des historischen Denkens im Allgemeinen und in seiner Form einer modernen Kulturwissenschaft im Besonderen. Rüsens anthropologisch fundierte Darstellung der theoretischen und methodischen Grundlagen der Geschichtswissenschaft nimmt eine Mittelstellung zwischen modernem Wissenschaftlichkeitsanspruch und postmodernem Konstruktivismus ein.
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Cinquante ans après la parution de l'ouvrage de Jan Vansina (1961) – De la tradition orale. Essai de méthode historique – des historiens, des anthropologues et des archéologues se sont réunis en mai 2011 à Agbodrafo au Togo pour dresser un bilan de l'apport des sources orales à l'écriture de l'histoire de l'Afrique et examiner les perspectives de recherche. Ce livre offre aux lecteurs une réflexion sur les principes méthodologiques revisités pour le bon usage des sources orales, mettant en avant les pièges qui guettent encore et toujours l'historien de terrain. Le recours nécessaire à d'autres disciplines que l'histoire a été clairement démontré. L'anthropologie et l'archéologie s'avèrent indispensables pour analyser les contextes d'énonciation ou pour éclairer des pans restés jusque-là inconnus de l'histoire des populations. Dans cet ouvrage, les auteurs proposent de nouvelles stratégies d'approche en tenant compte de l'évolution des terrains d'étude, liée à la disparition de certaines catégories d'informateurs. De nouveaux domaines de recherche peuvent encore être explorés comme le fait religieux par une étude des lieux de cultes, principalement les bois sacrés, et de leur environnement culturel. Les récits de vie permettent aussi de combler des vides importants sur l'histoire contemporaine. L'idée centrale est l'extension considérable de la gamme des sources non écrites utilisées et leur grande diversité : toponymes, anthroponymes, chants et autres contes ont été revisités. Les généalogies ont à nouveau été questionnées en croisant les sources et en s'interrogeant sur l'altération de ces listes, leur instrumentalisation et les enjeux de pouvoirs qui mènent à leur manipulation. Enfin, le lien entre documents écrits et traditions orales est à nouveau exploré, pour montrer les interférences existant entre les deux catégories. Ce livre présente ainsi un panorama large et diversifié de l'utilisation de l'oralité comme source d'histoire avec un avenir qui est loin d'être sombre. Cependant, l'urgence demeure de poursuivre les enquêtes de terrain et d'œuvrer à la conservation des données orales recueillies. Il s'agit d'un véritable patrimoine immatériel que les chercheurs se doivent de récolter et de préserver.
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Tout Français cultivé entretient un dialogue intime et fort avec l'histoire de la France. Il en va ainsi parce que, de Clovis à nos jours, il s'est trouvé à chaque époque des hommes de talent et de conviction pour enquêter sur le passé du pays et y rechercher les clés du présent. Cette entreprise collective, à laquelle chaque siècle a donné ses couleurs propres, est transcendée par un certain nombre d'œuvres majeures (Voltaire, Michelet, Bloch, Braudel. . .).Mais que sait-on vraiment de « l'histoire de l'histoire de France », de cette réinvention en continu du « roman national », des évolutions dans la perception de ce qui rassemble et divise les Français ? Comment est-on passé du récit des hauts faits des princes à l'exaltation du peuple, de la révérence envers le sacré (Dieu, le Roi, la République, la Patrie. . .), à l'irrévérence de ceux qui ne veulent plus s'en laisser conter, de l'exaltation des épisodes glorieux à la levée des tabous sur les « pages noires » du passé national ?
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Between the sixteenth and nineteenth centuries, the elites (secular and ecclesiastical) of the many villages, castles, smaller urban centres that make the Italian landscape so unique, started to deeply rethink the past of their "small homeland". Roman (but also pre-Roman) heritage and medieval tradition are at the centre of interest; bold "inventions" and manipulations alternate with searches for a solid erudite structure. The essays published here concern the Italian regions of Piedmont, Romagna, Emilia, Tuscany, Marche, Umbria, Terra di Bari, Campania. In the essays, a strong sense of identity and a robust self-awareness emerges; ultimately, this is the vitality of a connective tissue of settlements featuring an "original character" relevant in the Italian historical events from the Middle Ages to the present day.
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